QUE SONT DEVENUS LES ANCIENS ÉLÈVES DE PÔLE AÉRO ?✈️
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Ont-ils passé leur PPL ?
Exercent-ils un métier dans l’aéronautique ?
Quels sont leurs avis sur le BIA et la formation de Pôle Aéro ?
C’est lors d’un vol d’initiation avec Cédric que l’idée d’être pilote est venue à Ando. Alors qu’il était en filière STMG, pensant que seule une filière scientifique permettait de devenir pilote de ligne, Cédric lui a conseillé de passer le BIA, ce qui l’a orienté vers le métier de pilote. Il a intégré ensuite les cours de PPL théorique de Cédric.
Le BIA a été pour Ando une révélation, celle de se dire qu’il est possible d’y arriver grâce aux cours et du travail personnel. Après l’obtention de la licence de pilote privé, le PPL, il a choisi de partir en France poursuivre sa formation à l’ATO d’AEROFUTUR à Perpignan. Depuis, Ando a obtenu son CPL, sa MEP, son IRSE/ME et sa MCC.
De retour au Fenua avec toutes les qualifications nécessaires, il est actuellement à la recherche d’un poste d’Officier Pilote de Ligne.« Ce qui m’a donné envie de travailler et de m’investir, c’est de voir à quel point Cédric est passionné, a une envie de transmettre et une facilité pour rendre faciles les thèmes difficiles. Durant mon PPL théorique, j’avais quelques difficultés dans certains modules mais j’ai pu compter sur Cédric pour bénéficier de cours à la maison et en e-learning. Sa passion pour l’aviation et son envie de transmettre a été « contagieuse » et c’est ce qui m’a conforté dans mon choix de carrière ».
Le rêve de devenir pilote lui est apparu à l’âge de 10 ans. Au lycée, Kahaia a découvert les cours du BIA. Elle a immédiatement vu cela comme une opportunité idéale pour s’initier aux bases et à l’histoire de l’aviation. Après l’obtention de son baccalauréat scientifique en 2018, elle a effectué un séjour linguistique de trois mois aux États-Unis pour perfectionner son anglais, indispensable dans l’aviation. En janvier 2019, elle a intégré une école privée en France afin de suivre la formation de pilote professionnel. Quand son école a fait faillite pendant la crise du Covid, elle disposait seulement de sa licence PPL, de l’ATPL théorique et d’une centaine d’heures de vol. Elle a trouvé un emploi comme vendeuse pour soutenir ses parents et financer des heures de vol en aéroclub. Finalement, l’État a permis à 30 élèves les plus avancés de reprendre leur formation à l’ENAC. Grâce à ses heures supplémentaires réalisées à l’aéroclub de Châteauroux et à l’aéroclub UTA, elle a eu la chance d’être retenue. Elle a alors complété sa formation avec la licence CPL sur TB20, l’IRME sur Baron et la MCC sur simulateur A320. Kahaia a terminé son cursus en novembre 2022.
En mars 2023, elle a rejoint la compagnie Oyonnair en tant que copilote. Depuis avril 2025, elle occupe le poste de commandante de bord. Elle est également responsable de la base de Paris et adjointe à la responsable de formation des équipages.« Cette année de BIA a été très formatrice, notamment grâce à mon instructeur, Cédric, qui a su transmettre sa passion aussi bien au sol qu’en vol. Pour confirmer mon intérêt pour ce métier, mes parents m’ont offert un vol de découverte et c’est naturellement Cédric qui m’a accompagnée dans cette première expérience en vol. Ce moment a été un véritable déclic : j’ai su que je voulais faire du cockpit mon bureau.
Aujourd’hui, je vis pleinement mon rêve et je suis profondément reconnaissante envers toutes les personnes qui m’ont soutenue dans ce parcours, dont Cédric en fait partie. Le chemin n’a pas été facile, mais chaque étape en valait la peine.«Robin a passé son BIA en 2017. Depuis, il a obtenu les licences PPL, ATPL théorique, CPL ainsi que des qualifications variées IRME, MEP, la liste est non exhaustive !
En 2022, il a été sélectionné pour participer au Tour Aérien des Jeunes Pilotes 🛩️
Il est aujourd’hui FI, instructeur à l’ENAC.
Un travail sans relâche mais surtout
une passion qui ne faiblit pas !« Si je devais résumer les formations avec Cédric je dirais que c’est la première marche de l’escalier qui m’a permis de passer de l’envie de piloter à la réalité. J’ai croisé des personnes inspirantes de par leurs connaissances, expériences, ou qualités pédagogiques, Cédric en fait partie. Il sait rendre les cours percutants et concrets. Les connaissances et compétences que j’ai acquises pendant ses cours et vols restent le socle qui me sert au quotidien dans mon travail et loisir de pilote. Ce sont des formateurs passionnés (comme Cédric) qui m’ont donné envie de partager, à mon tour, ma passion en devenant instructeur ».
Après avoir passé un BIA en 2017 avec Cédric, Krystel a poursuivi ses études dans l’aéronautique. Elle a choisi d’entrer en classe préparatoire afin de se présenter au concours de contrôleur aérien à l’ENAC.
Elle est aujourd’hui contrôleuse aérienne et partage son expérience dans l’un de nos articles.« À l’ENAC on ne demande pas d’avoir fait de l’aéronautique avant mais avoir fait le BIA donne une avance sur les cours et cela permet de s’immerger dans l’aéronautique et de comprendre si c’est fait pour nous ou pas, d’avoir un avant-goût. Parfois on ne sait pas trop ce qu’on veut faire, on sait qu’on veut faire de l’aéro mais avoir le BIA nous ouvre des portes sur plusieurs métiers, pilote, mécanicien, contrôleur, la météo… Le BIA donne un petit plus pour les oraux des concours de l’ENAC lors de l’entretien de motivation ».
